Alix (Tome 7) - Le Dernier Spartiate

À propos

Alix, Enak et tout leur équipage romain font route pour Nicopolis, Grèce, pour répondre à l'invitation du général Horadius mais les eaux terribles de la mer leur fait faire naufrage. Quand Alix se réveille seul sur la côte d'une île il ne trouve pas ses compagnons. Seuls les restes du bateau ont échoués avec lui et il se met en quête de retrouver son ami Enak et l'équipage romain. Il découvre rapidement que le bateau n'a pas échoué tout seul mais qu'une bande de naufrageurs leur a tendu un piège pour attirer le bateau et ses occupants. Ses amis sont donc détenus prisonniers par ces hommes dans le but de les mettre en esclavage. Il part donc seul à la poursuite de ses amis dans un environnement hostile. Bientôt, il se retrouve au coeur des Grecs, prisonnier tout comme ses amis, et découvre leur but ultime : anéantir efficacement et définitivement les Romains et leur empire en entraînant une nouvelle armée de soldats spartiates imbattable. Les esclaves sont ainsi destinés aux nouvelles recrues spartiates ; comme autant d'outils et de victimes pour que ces derniers s'entraînent...

Rayons : Bandes dessinées / Comics / Mangas > Bandes dessinées > Tout public

  • Auteur(s)

    Jacques Martin

  • Éditeur

    Casterman

  • Distributeur

    Flammarion

  • Date de parution

    26/03/2010

  • Collection

    Alix

  • EAN

    9782203054677

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    62 Pages

  • Poids

    67 348 Ko

  • Diffuseur

    Flammarion

  • Entrepôt

    Eden Livres

  • Support principal

    ebook (ePub)

Jacques Martin

Né à Strasbourg en 1921, Jacques Martin se découvre très tôt une passion pour le dessin et pour l'histoire. Il entre aux Arts et Métiers où il reçoit une formation purement technique. Il en reconnaîtra plus tard les vertus, dont une certaine rigueur, qui contribuera à faire de lui -avec Hergé et Jacobs- l'un des trois représentants majeurs de l'école dite "de Bruxelles". En 1946, il part en Belgique et fait le tour des éditeurs avec son carton à dessin. Alternant illustration et bande dessinée, il s'associe avec un graphiste nommé Leblicq - d'où le pseudonyme Marleb, qu'il continuera d'utiliser quelques temps. Il crée Monsieur Barbichou, Oeil de perdrix et Le hibou gris, dont la suite, Le sept de trèfle, peut être considérée comme un brouillon de La grande menace. Il conçoit un projet de journal pour les jeunes baptisé Jacky, qui ne verra jamais le jour (le premier numéro de Tintin est en train de sortir). C'est dans Tintin qu'il crée Alix en 1948, et Lefranc en 1952. Il entre aux studios Hergé en 1953, où il restera dix-neuf ans pendant lesquels il travaillera sur diverses aventures de Tintin, et publiera sept Alix et trois Lefranc. Dans la décennie suivant sa séparation d'avec les studios, il accélère le rythme avec neuf Alix et quatre Lefranc. En 1984, il concrétise deux rêves anciens - Jhen, l'histoire d'un compagnon d'armes de Gilles de Rais, avec Pleyers, et Arno avec Juillard. En 1991, il crée Orion et scénarise Kéos. Cultivant une sorte de compagnonnage, il s'entoure de nouveaux collaborateurs pour créer Les Voyages d'Orion, série consacrée à la reconstitution des grands sites antiques. En 1996, il publie le 20ème Alix, intitulé Ô Alexandrie, avec Rafaël Morales. Jehanne de France et L'or de la mort, deux aventures initialement parues sous le label Xan aux éditions du Lombard, paraissent en 1998 et rejoignent leur place dans la collection Jhen chez Casterman. En 1999, Kéos intègre le catalogue Casterman. A cette occasion les deux premiers albums sont réédités et Le veau d'or, dessiné en 1994, publié pour la première fois.

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