Gueule cassée de 14, Édouard Roux trouve refuge dans l'atelier de la sculptrice animalière Jeanne Sauvage. Elle lui redonne un visage et l'introduit dans le milieu des artistes de Montmartre. En échange, Édouard lui fait découvrir la majesté du plateau du Vercors et l'histoire du dernier ours qu'il a vu tué quand il était enfant. Au coeur du Cirque d'Archiane, il lui dévoile la Dernière Reine et incite Jeanne a créer le chef d'oeuvre qui la fera reconnaître.
Dans la veine des grands romans feuilletons du 19e, La Dernière Reine croise les destins du dernier ours du Vercors et d'Édouard Roux gueule cassée de 14.
Comme précédemment dans Le Loup, homme et animal se confrontent dans un récit puissant, mêlant questionnements écologiques, féminisme, histoire d'amour et histoire de l'art.
Avec une portée décidément pratique, portant sur la description de phénomènes sociaux, psychologiques et familiaux, cet ouvrage se veut un guide utile et actuel solidement fondé sur les connaissances fondamentales, mais touchant des préoccupations quotidiennes, adaptées au contexte québécois de l'intervention sociale. L'objectif général est d'aborder l'évaluation psychosociale de la famille pour aider le travail des intervenants sociaux dans un contexte de risque social.
L'école. Voilà le thème pour le moins inspirant qu'explorent les auteurs du numéro d'hiver d'XYZ. L'école. Tout le monde y passe ou y est passé. C'est dans ce microcosme qu'on expérimente pour la première fois les périls de la vie en société. On s'y frotte au monde adulte des connaissances. On y apprend à tirer son épingle du jeu. Une nouvelle identité nous définit tant dans ses murs qu'à l'extérieur, dans la cour, à l'heure de la récréation. Les auteurs de ce numéro n'y récoltent pas les mêmes souvenirs, mais tous, sans exception, imaginent des personnages confrontés à la dure et éprouvante réalité de ce milieu. À ce dossier thématique étoffé s'ajoutent un article de Christiane Lahaie, qui fait un survol de la production de nouvelles au Québec dans la dernière année littéraire, ainsi qu'un compte rendu de Nicolas Tremblay sur le recueil Le basketball et ses fondamentaux de William S. Messier.
Recueil de nouvelles dans lequel des personnages se croisent, à la recherche d'une personne avec qui partager espoirs et désillusions. Le plus souvent leurs chemins se croisent en effet, chacun repart sur sa propre voie, la rencontre s'achevant dans la brièveté.
La jonction de ces deux solitudes constitue la trame de ce roman. Dans un décor qui ressemble à la campagne québécoise, ces deux êtres désorientés s'accrochent l'un à l'autre dans l'espoir, vain, que le temps s'arrête. C'est elle, dont nous ne saurons jamais le nom, qui se remémore leurs échanges quand, dix ans plus tard, elle ressent le besoin de revenir sur ses pas. À travers les conversations banales et les confidences, un homme et une femme s'apprivoisent tout en sachant que leur rencontre ne peut qu'être de courte durée. Deux jours, trois peut-être, voilà tout le temps dont ils disposent pour se connaître, s'apprécier et se quitter.