Avant les Bridgerton, une histoire d'amour a changé le monde...
En 1761, par une journée ensoleillée de septembre, un roi et une reine se rencontrent pour la première fois, quelques minutes avant leur mariage.
Née allemande, la princesse Charlotte de Mecklembourg-Strelitz est belle, intelligente, et surtout têtue. Autant de qualités qui lui seront utiles, car le souverain cache de lourds secrets... susceptibles d'ébranler les fondements mêmes de la monarchie.
Propulsée dans son nouveau rôle, la reine découvre comment naviguer dans les méandres de la politique tout en protégeant son coeur. Par-dessus tout, elle doit apprendre à gouverner et comprendre qu'elle a reçu le pouvoir de transformer la société.
Plus jamais elle ne sera Lottie. Charlotte a un destin à accomplir.
Première Loi : Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger.
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la Première Loi.
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi.
Première Loi : Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger.
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la Première Loi.
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi.
« Nul ne soupçonnait la transformation qui s'opérait en lui aussitôt qu'il pénétrait dans la solitude de la forêt. Il devenait un animal sauvage, silencieux et léger, ombre à peine entrevue glissant parmi d'autres ombres. »
Alors qu'il coule des jours paisibles sous le soleil de Californie, Buck est enlevé à son maître et vendu à un trafiquant de chiens de traîneau. L'animal, que rien ne préparait à la rudesse de la vie dans le Grand Nord, se retrouve confronté à la brutalité des hommes et à la puissance impitoyable de la nature : la faim, la violence et le froid seront désormais ses compagnons quotidiens. Sans compter les autres chiens de la meute, qui voient son arrivée d'un mauvais oeil...
Né à San Francisco en 1876, Jack London fut très tôt attiré par l'aventure. Tour à tour mousse, pêcheur d'huîtres et garde-côte, c'est son expérience de chercheur d'or en Alaska qui lui inspira L'Appel de la forêt.
o Objets d'étude : Le voyage et l'aventure : pourquoi aller vers l'inconnu ? - L'être humain est-il maître de la nature ?
o Dossier pédagogique conçu conformément aux programmes
o Prolongement : Entre chien et loup (corpus de textes).
Classe de cinquième.
Considérées comme une attaque aux bonnes moeurs par la société bourgeoise du XIXe siècle, Les Fleurs du mal se trouvent à la charnière du romantisme, qui brille de ses derniers feux, et du symbolisme, qui ne naîtra qu'à la fin du siècle et qui choisit Baudelaire comme précurseur prestigieux. Les écrivains se retrouvent alors face à une modernité qu'il faut apprivoiser pour parvenir à l'intégrer à l'art.
Mais comment faire de la littérature dans une époque de grands bouleversements qui semble vulgaire aux poètes ? La réponse de Baudelaire est à la fois provocatrice et brillante : poétisons la vulgarité et vulgarisons la poésie. Autrement dit, transformons la boue en or.
o Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes ;
o Parcours : Alchimie poétique : la boue et l'or ;
o Pour aller plus loin : La modernité poétique.
Classe de première.
"Très chers lecteurs, quelle saison !
Au rythme des bals et des réceptions, je vous ai narré le feuilleton haletant de la folle romance entre Mlle Daphné Bridgerton et Simon, le ténébreux duc de Hastings. Valses langoureuses, rebondissements cocasses et bagarres mémorables nous auront tenus en haleine jusqu'à l'épilogue d'un romantisme échevelé.
Aurons-nous le temps de reprendre notre souffle ? Il est à craindre que non, car il se chuchote déjà dans Londres qu'Anthony, le frère de Daphné, serait décidé à convoler lui aussi. Hélas, l'élue a une soeur odieuse qui s'oppose catégoriquement à cette union en raison du passé libertin du vicomte.
Cela nous promet bien des péripéties.
Et comme il reste six Bridgerton à marier, votre dévouée chroniqueuse a de beaux jours devant elle. Ne perdez pas le fil, chers lecteurs, la saga ne fait que commencer !"
Rubrique mondaine de lady Whistledown, Londres, 1813
Avant les Bridgerton, une histoire d'amour a changé le monde...
En 1761, par une journée ensoleillée de septembre, un roi et une reine se rencontrent pour la première fois, quelques minutes avant leur mariage.
Née allemande, la princesse Charlotte de Mecklembourg-Strelitz est belle, intelligente, et surtout têtue. Autant de qualités qui lui seront utiles, car le souverain cache de lourds secrets... susceptibles d'ébranler les fondements mêmes de la monarchie.
Propulsée dans son nouveau rôle, la reine découvre comment naviguer dans les méandres de la politique tout en protégeant son coeur. Par-dessus tout, elle doit apprendre à gouverner et comprendre qu'elle a reçu le pouvoir de transformer la société.
Plus jamais elle ne sera Lottie. Charlotte a un destin à accomplir.
«Écoutez-moi je suis le gosier de Paris
Et je boirai encore s'il me plaît l'univers»
Avec ce recueil paru en 1913, Guillaume Apollinaire porte l'étendard de la modernité et célèbre la naissance d'un siècle nouveau. Pourtant, en creux de cette ode au progrès, le poète a su ménager une place inattendue à l'inspiration mélancolique des ballades, des rondeaux et des mythes passés.
Assumant un périlleux jeu d'équilibriste entre tradition et avant-garde littéraire, Alcools couvre tous les possibles de l'expression poétique.
o Objet d'étude : Visions poétiques du monde
o Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes
o Prolongement : Le mythe de la Lorelei.
Classe de troisième.
Lorsque le très anglais Phileas Fogg parie avec ses amis du Reform-Club qu'il fera le tour du monde en quatre-vingts jours, ces derniers s'esclaffent. Comment pourra-t-il mener à bien une telle entreprise ? A-t-il perdu la tête ?
Bien décidé à relever le défi , Mr. Fogg ne perd pas une minute. Le voilà qui, accompagné de Passepartout, son serviteur, saute dans le premier train pour la France. Commence alors la folle aventure : se déplaçant tantôt en paquebot, tantôt en train, les deux compagnons vont parcourir le monde et tenter d'échapper à l'inspecteur Fix, qui croit reconnaître en Fogg le célèbre voleur de la Banque d'Angleterre...
Couverture : "Vous êtes bien Phileas Fogg ? Au nom de la reine, je vous arrête". Illustration d'Auguste Leroux (1871-1954) © Coll. Vaussenat / kharbine-Tapabor
La florissante agence anti-psi Runciter & Associés protège ses clients contre toute intrusion psychique. Mais lors d'une mission sur Luna, ses meilleurs éléments sont victimes d'un attentat à la bombe orchestré par une agence rivale. Glen Runciter est aussitôt placé en semi-vie. Rapidement, Joe Chip et les autres survivants sont témoins de phénomènes étranges : le visage de leur patron apparaît sur les billets de banque, les cigarettes n'ont plus aucun goût, la technologie semble régresser. Et un produit nommé Ubik, qui possède de curieuses propriétés, surgit aux moments les plus opportuns...
Chère lectrice, cher lecteur,
Vous vous demandez sans doute pourquoi la haute société londonienne s'inflige tous les ans la soirée musicale des Smythe-Smith. Bien sûr, les Featherington, les Bridgerton, Colin et Gregory en particulier, et lady Danbury sont installés aux premiers rangs. Et pourquoi diable quatre jeunes filles à marier de cette honorable famille s'évertuent-elles à massacrer Mozart, le sourire aux lèvres ? Les malheureuses ! Quant à votre dévouée chroniqueuse, elle n'a même pas le coeur de se moquer de leur piètre prestation, bien trop intriguée par les regards qu'échangent Honoria, qui s'acharne à jouer du violon, et Marcus, le petit-neveu adoré de lady Duncan. Tiens, tiens... Qui est donc cette ravissante jeune femme au piano ? Elle pourrait déchaîner bien des passions. La nouvelle saison s'annonce pleine de surprises !
Rubrique mondaine de lady Whistledown
La saison mondaine commence à peine que les mères ambitieuses et leurs filles sont déjà sur le pied de guerre. Qui attrapera dans ses filets l'un des rejetons de la famille Bridgerton, grande pourvoyeuse de beaux partis ? Une course d'obstacles s'annonce, d'autant que les ragots vont bon train.
Ainsi, le fringant Benedict a beau clamer qu'il ne souhaite pas se marier, le bruit court qu'il a croisé le regard d'une éblouissante inconnue lors d'un bal masqué. Et alors, me direz-vous ? Et alors, la belle a disparu à minuit ! Ce qui ne la rend que plus désirable aux yeux du jeune Bridgerton...
Et qu'en est-il du charmant Colin, enfin de retour de ses pérégrinations sur le Continent ? Il a beau caracoler en tête de liste des célibataires les plus prisés, s'il est en quête d'une fiancée, il le cache bien. Au grand dam d'une certaine débutante, qui pourrait bien voir là un défi à relever.
Mais n'ayez crainte, chers lecteurs, votre dévouée chroniqueuse a plus d'un tour dans son sac lorsqu'il s'agit de donner un coup de pouce au destin.
Rubrique mondaine de lady Whistledown
Comment se forment les sociétés ? Qu'est-ce qui détermine une organisation sociale juste ? Comment concilier les intérêts de chacun et l'intérêt général ?
Rousseau recourt à l'hypothèse d'un état de nature pour tenter de répondre à ces interrogations fondamentales : une société naît toujours d'un pacte social, contracté par tous avec tous, par lequel chacun renonce à sa liberté naturelle pour gagner une liberté civile. Ce contrat social a pour principe fondateur la souveraineté du peuple.
Paru en 1762, Du contrat social est un texte essentiel de la philosophie politique ; les questions qu'il soulève résonnent encore aujourd'hui.
Provoqué par un fâcheux, Cyrano se moque audacieusement de lui-même et de son nez, objet de sa disgrâce. Séduire Roxane ? Il n'ose y songer. Mais puisqu'elle aime Christian, un cadet de Gascogne qui brille plus par son apparence que par ses reparties, pourquoi ne pas tenter une expérience ?
« Je serai ton esprit, tu seras ma beauté », dit Cyrano à son rival. « Tu marcheras, j'irai dans l'ombre à ton côté. »
Christian ne s'y trompe pas ; à travers lui, la belle Roxane en aime en fait un autre. Et Cyrano, s'il entrevoit le bonheur un instant, ne peut oublier son physique ingrat... Un jeu étrange, et dangereux.
« Rentrez en vous-même. Explorez le fond qui vous enjoint d'écrire ; vérifiez s'il étend ses racines jusqu'à l'endroit le plus profond de votre coeur, répondez franchement à la question de savoir si, dans le cas où il vous serait refusé d'écrire, il vous faudrait mourir. »
À 27 ans, Rilke reçoit une lettre d'un jeune poète qui lui soumet ses textes. À cet inconnu, l'aîné ouvre son coeur. Dans cet échange, il lui parle de la création, de l'inspiration, de l'écriture, mais aussi des tourments de l'amour, de la mort et de la solitude.
Cette correspondance, touchante par sa justesse et la confiance qui s'y manifeste, demeure l'un des plus beaux textes adressés à la jeunesse.
Une princesse visionnaire qui ne laissera personne lui dicter sa conduite. Un soldat idéaliste déchiré entre son coeur et ses devoirs. Une chasseuse intrépide traquant la plus dangereuse des proies. Un traître déterminé à venger le sang de son peuple. Un voleur insaisissable qui multiplie les faux-semblants.
Un monde immense et magique au bord du chaos, dont la clé se trouve peut-être au fond d'une bouteille de fumée...
Le mouton n'était pas mal, avec sa laine et ses bêlements plus vrais que nature - les voisins n'y ont vu que du feu. Mais il arrive en fin de carrière : ses circuits fatigués ne maintiendront plus longtemps l'illusion de la vie. Il va falloir le remplacer. Pas par un autre simulacre, non, par un véritable animal. Deckard en rêve, seulement ce n'est pas avec les maigres primes que lui rapporte la chasse aux androïdes qu'il parviendra à mettre assez de côté. Holden, c'est lui qui récupère toujours les boulots les plus lucratifs - normal, c'est le meilleur. Mais ce coup-ci, ça n'a pas suffi. Face aux Nexus-6 de dernière génération, même Holden s'est fait avoir. Alors, quand on propose à Deckard de reprendre la mission, il serre les dents et signe. De toute façon, qu'a-t-il à perdre ?
Un mariage en Espagne. L'homme le plus agaçant de la Terre. Trois jours pour convaincre toute sa famille qu'elle est réellement amoureuse.
Du mariage d'Edmund Bridgerton et de Violet Ledger sont nés huit enfants, héros de la Chronique des Bridgerton. Mais que sont devenus Daphné, Anthony, Benedict, Colin, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe ? Des années plus tard, les mariages et les naissances ont apporté leurs lots de doutes et de bonheurs. La famille s'est agrandie et, sous le regard serein et bienveillant de lady Violet, la dynastie Bridgerton se retrouve pour une dernière fois.
Vous souvenez-vous de lady Whistledown, dont les chroniques alimentaient les ragots du Tout-Londres ? Pour notre plus grand plaisir, elle a repris sa plume acerbe et drôle, et nous narre la saison de deux délicieuses débutantes.
Il se passe toujours quelque chose dans la famille Bridgerton ! Si les mariages des aînés semblent heureux, on apprend qu'Éloïse, la plus rebelle de la fratrie, a quitté Londres pour une destination inconnue. Cette fuite cacherait-elle un nouveau scandale ? Et que dire de Francesca la dernière des filles de la maison Bridgerton ? On prétend que son récent veuvage est moins insupportable lorsque le comte de Kilmartin est là pour sécher ses larmes...
Décidément, la famille Bridgerton alimente encore les ragots mondains. La cadette, Hyacinthe, que son franc-parler a écarté des listes de filles à marier, se pique de la langue de Dante et se lance dans la traduction d'un journal intime italien, très osé, aidé par ce dangereux don juan de Gareth Saint-Clair ! Gageons que cette étonnante association aboutira à un chef d'oeuvre... Quant au dernier de la famille, Gregory, c'est un irrécupérable idéaliste qui croit toujours au grand amour. Il a jeté son dévolu sur la ravissante lady Hermione Watson. Mais cette dernière aime ailleurs... Qu'à cela ne tienne ! Gregory a tout son temps et le soutien inconditionnel de la spirituelle Lucinda Abernathy...
« Ses camarades disaient de lui : "C'est un malin, c'est un roublard, c'est un débrouillard qui saura se tirer d'affaire." Et il s'était promis en effet d'être un malin, un roublard, un débrouillard. »
Georges Duroy, surnommé Bel-Ami, rêve d'ascension sociale. Prêt à tout pour quitter sa mansarde et faire son entrée dans la bonne société parisienne, il use de son charme et multiplie les conquêtes pour se faire un nom. Mais où le mènera cette ambition sans scrupules ?
OEuvre incontournable de Guy de Maupassant, Bel-Ami dresse un portrait satirique de la bourgeoisie parisienne du XIXe siècle où seules comptent les apparences.
o Objet d'étude : Le roman et le récit du Moyen Âge au XXIe siècle (lecture cursive)
o Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes
o Prolongement : De la peinture du XIXe siècle aux adaptations cinématographiques :
les représentations de Bel-Ami dans l'art.
Classe de première.
« Condamné à mort. » Depuis que la sentence est tombée, son esprit s'épouvante à cette idée. De son nom et de son crime, le lecteur ignore tout. Il assiste en revanche, impuissant, aux dernières pensées et à l'affolement d'un individu qui crie son humanité et son désir de vivre. Et découvre les rouages implacables d'une institution aveugle, qui a pour nom « Justice ».
Indigné par le spectacle d'une exécution à la guillotine, Victor Hugo écrit ce court roman comme un réquisitoire impitoyable contre la barbarie judiciaire doublé d'un véritable manifeste humaniste.
Au banquet d'Agathon, les convives doivent prononcer un éloge d'Éros : sept interlocuteurs exposent leur vision de l'Amour. Socrate orchestre la soirée, élevant chacun dans une conversation philosophique.
Les trois genres de l'humanité, la naissance de l'Amour, ou encore les degrés de l'initiation à la Beauté comptent parmi les mythes platoniciens les plus célèbres. C'est aussi l'occasion pour Platon d'esquisser, en toile de fond, un portrait vivant et plein de charme de Socrate, son maître. Un dialogue souvent cru, au style exubérant, destiné à éclairer la recherche du bonheur véritable.